Voici le dernier article consacré aux obstacles à la réussite de nos projets. Que l’on parle de réussite professionnelle, sociale, amoureuse, personnelle, qu’est-ce qui nous empêche de réussir?
J’ai commencé cette série d’articles à la suite de la conférence donnée par Brigitte André, coach et formatrice, lors du sommet mondial de la réussite 2012.
J’ai consacré un premier article à l’acceptation molle (notre propension à accepter une situation qui n’est pas ou plus satisfaisante), un deuxième à notre propre résistance au changement, puis un troisième à notre tendance à agir pour agir, pas pour réussir.
Je voudrais aborder maintenant le 4è et dernier obstacle: notre difficulté à capitaliser notre estime de soi.
Capitaliser l’estime de soi, c’est remplir notre compte en banque intérieur. C’est être capable de se dire merci à soi-même. C’est être capable de se féliciter pour chaque pas accompli dans la direction que nous avons choisi, pour chaque réussite intermédiaire, si petite soit-elle (pensons-nous!).
Capitaliser l’estime de soi, c’est justement ne pas minimiser nos accomplissements (« ok, j’ai fait ça mais ce n’est pas grand-chose, n’importe qui aurait pu le faire » ).
Capitaliser l’estime de soi, c’est accepter les compliments des autres, pas toujours facile, on a souvent tendance là aussi à minimiser notre responsabilité dans l’accomplissement.
Et pourtant c’est important de remplir notre compte en banque intérieur, c’est cette estime de soi qui va renforcer, au fil des jours, notre confiance en notre capacité à réussir.
En conclusion, pour capitaliser notre estime de soi et renforcer notre capital confiance, ne pas minimiser nos accomplissements, être capable de se féliciter et accepter les compliments d’autrui.
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